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La lowtech : un sondage pour avancer ensemble vers une technologie durable

la rédac’

Dans le cadre du programme de coopération territoriale européenne Interreg VI France-Wallonie-Vlaanderen, IPALLE et 8 autres partenaires ont obtenu des subsides afin de développer la thématique de coopération priorité n°2 : « renforcer la résilience et l’adaptation des territoires face aux risques liés au changement climatique ».

Le réchauffement climatique et la raréfaction des ressources étant directement liés à nos façons de vivre, le constat est simple : il est nécessaire de réduire notre empreinte environnementale en repensant nos manières de vivre, de consommer, de travailler.

Pour y parvenir, une dynamique transfrontalière pour encourager et diffuser l’adoption de solutions lowtechs a vu le jour avec le projet « Vivons Low Tech Leven ».

Mais c’est quoi la « lowtech » ?

La lowtech se veut comme une alternative aux high tech : des solutions moins énergivores et moins gourmandes en ressources. On vous rassure, il ne s’agit pas de revenir à l’âge de pierre, mais bien d’utiliser les technologies de manière plus durable, plus responsable en réduisant la complexité technologique, en limitant ou en supprimant les fonctionnalités « gadgets » etc. Un exemple concret ? On s’attend à ce qu’un frigo conserve les aliments au frais. Il n’a donc pas besoin de donner l’heure, parler, diffuser de la musique, se connecter à votre téléphone portable…

A l’heure où certaines ressources se raréfient de plus en plus vite, la low tech pourrait même permettre de sauver l’high tech là où il est critique (dans les hôpitaux par exemple), en revenant en quelque sorte aux « basiques » pour d’autres besoins simples, sans pour autant perdre en qualité de vie. Cette approche s’inscrit dans le prolongement du zéro déchet, de l’économie circulaire et de l’efficacité énergétique. Elle s’applique à utiliser la technologie avec parcimonie et discernement et minimise les impacts en amont (consommation des ressources), les impacts liés à l’utilisation et à la fin de vie, à différentes échelles.

Bref, éviter le superflu, privilégier le durable, le réparable, le zéro déchet, utiliser un chauffe-eau solaire, etc : la low-tech peut s’appliquer facilement dans notre quotidien !

Et nous avons besoin de vous !

Le sujet vous intéresse ? Vous voulez en savoir plus ou nous aider à identifier les moteurs et les freins à l’usage des solutions low-tech ? Alors, répondez à ce sondage en quelques minutes : https://framaforms.org/enquete-low-tech-1739875106

Ce sondage a été réalisé conjointement par l’école d’ingénieur française Centrale Lille, établissement d’enseignement supérieur et de recherche, et par notre intercommunale dans le cadre du Projet Interreg France – Wallonie – Vlaanderen : Vivons Low-Tech Leven.

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